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paul-marie coûteaux - Page 6

  • Tour d'horizon... (24)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Valeurs actuelles, Paul-Marie Coûteaux rend un bel hommage à Hervé Coutau-Bégarie, historien et grand spécialiste de la stratégie, décédé le 24 février 2012...

    Les rayonnements secrets

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    - sur Causeur, Jérôme Leroy revient sur le système de la dette et son caractère profondément orwellien...

    Dette partout !

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  • La psychologie des foules...

    Les éditions Terra Mare viennent de rééditer un essai de Catherine Rouvier, intitulé Gustave Le bon - Clefs et enjeux de la psychologie des foules, qui avait été initialement publié en 1986 aux Presses universitaires de France. L'ouvrage bénéficie d'une nouvelle préface de Paul-Marie Coûteaux.

     

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    "Mardi 11 septembre 2001, 16h30.
    En quelques minutes la planète entière, via CNN et les dépêches des agences de presse reprises en boucle par radios et télévisions connait le nom de Ben Laden qui « au vu des premiers indices» semble être l’instigateur de l’attentat du World Trade Center.


    Dimanche 14 Mai 2011, 13h.
    Aux actualités de la mi journée les télévisions du monde entier diffusent l’image du directeur du FMI, accusé de viol, menotté entre deux policiers. Plus personne désormais n’ignorera ni son nom, ni son visage.

    Deux immenses tours en flammes, un « grand» de ce monde menotté… Deux images choc qui, diffusées dans le monde entier, se comprennent sans mots. Les conséquences, quelles qu’elles soient (décisions des dirigeants nationaux et internationaux, guerres, révoltes etc.), seront reçues par des individus à travers le prisme initial de cette image. Tel est le phénomène que Gustave Le Bon, médecin français passionné de science sociale, décrit dès les premières pages du petit livre choc qu’il publie en 1895, Psychologie des foules : «L’orientation des sentiments et des pensées dans un même sens, premiers traits de la foule en voie de s’organiser, n’implique pas toujours la présence simultanée de plusieurs individus sur un seul point. Des milliers d’individus séparés peuvent à un moment donné, sous l’influence de certaines émotions violentes, un grand événement national par exemple, acquérir les caractères d’une foule psychologique…» L’analyse lébonienne originelle continue de constituer un excellent préliminaire à la compréhension de la psychologie politique contemporaine, car la pensée simple et claire de Gustave Le Bon reste, comme le découvrira le lecteur, d’une éblouissante actualité."

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  • Tour d'horizon... (7)

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    Au sommaire :

    - sur Causeur, Jérôme Leroy raconte comment il a été victime d'une tournante idéologique dans les caves du PS !

    Moi aussi, je suis une victime de DSK

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    - sur Valeurs actuelles, Paul-Marie Coûteaux analyse avec brio l'affaire Strauss-Kahn et ses conséquences ;

    DSK ou les infortunes de Mammon

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    - sur Valeurs actuelles, Christian Combaz revient sur la diffusion du film Entre les murs sur France 2.

    L'aiguille du lepenomètre

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  • Despotica !

    Directeur des éditions Xénia, qui publient Eric Werner, Theodore Kaczynski ("Unabomber"), Paul-Marie Coûteaux ou Renaud Camus, Slobodan Despot est aussi un écrivain à la plume acérée, qui publie sur son blog intitulé Despotica des textes (récits de voyages, pamphlets, poèmes, chroniques, critique littéraire...) toujours subtils et souvent drôles et incisifs. Il les a rassemblés sous le titre Despotica - Mode d'emploi, et ils sont publiés ces jours-ci aux éditions Xénia.

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    Un petit aperçu du style de l'auteur :

    "Coïncidence amusante: au moment où j’annonce la publication des écrits complets de Theodore Kaczynski, l’ennemi public n° 1 de la société industrielle, Sandra Jean me propose de commenter au « Grand 8 », à la Radio Suisse Romande, l’échange de correspondances entre Houellebecq et BHL, Ennemis publics!
    Le contraste ne pouvait être plus abrupt! D’un côté, un homme seul qui a terrorisé l’Amérique pendant 16 avec ses colis piégés et meurtriers. Et ce, à cause de ses idées sur le progrès.
    De l’autre, deux brasseurs d’idées millionnaires, suivis de la rumeur médiatique comme d’une traîne de mariée, qui s’envoient par e-mail des anticompliments narcissiques.
    «Ma chère, je suis tout de même plus détestée que vous! Voyez donc mes déclarations insultantes.
    — Fi, ma chère! Et mon film alors?»
    On ne peut pas tout dire dans ces 20 minutes. Sinon qu’il s’agit de la parfaite orchestration d’opposition et de contestation que le système adore offrir à ses sujets.
    La mise en scène très exacte qu’Unabomber appelle «the System’s neatest trick»."

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  • Crise ou décadence ?...

    Crise ou décadence ? C'est le thème du dossier du dernier numéro des Cahiers de l'Indépendance, la revue de tendance souverainiste dirigée par Paul-Marie Coûteaux. Toutes les contributions ne sont pas d'égales valeurs, mais on trouve avec intérêt celles de Jacques Sapir, d'Hervé Coutau-Bégarie, d'Eric Zemmour, de Philippe de Saint-Robert et de Paul-Marie Coûteaux lui-même.

    Il est possible de se procurer les Cahiers de l'Indépendance sur le site de Paul-Marie Coüteaux

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    "Au lendemain de l'effondrement de l'Union soviétique, un avenir radieux s'emblait s'offrir à l'humanité enfin débarrassée du totalitarisme et de la guerre. Francis Fukuyama théorisait cet optimisme avec sa trop célèbre thèse sur la fin de l'histoire : l'humanité était parvenue au modèle indépassable, désormais incarné par 1a démocratie avancée, qui se trouvait correspondre au modèle de la puissance sortie victorieuse de la guerre froide et appelée à une domination plus universelle, plus parfaite que toutes celles qui avaient pu la précéder, d'Alexandre le Grand à la « pax britannica ». On sait comment ce discours triomphaliste des néoconservateurs américains a abouti aux catastrophes de la présidence de George W. Bush après les attentats du 11 septembre 2001. La toute puissance militaire américaine, issue de la révolution dans les affaires militaires, a été mise en échec par les insurgés irakiens et afghans et la tentative de remodelage du monde sur les valeurs américaines, sous l'appellation commode de globalisation, s'est heurtée à la dure complexité de la nature humaine et de la pluralité des nations et des civilisations. La fin de l'histoire a été remplacée par le choc des civilisations, annoncé de manière péremptoire et quelque peu unilatérale par Samuel Huntington.

    De même, l'heure est au désenchantement en matière économique. À partir des années 1990, avec la révolution de l'information et la libéralisation des échanges, les milieux économiques ont eu tendance à croire que l'ère des crises était terminée et que 1'on entrait désormais dans une période de croissance, sinon éternelle, du moins de très longue durée. La crise immobilière du début des années 1990 a été oubliée avec une rapidité confondante et la crise asiatique de 1997-1998 a été considérée comme un simple accident de parcours. Une économie globalisée ne devait plus connaître que la croissance. Il a suffi de la défaillance d'un fonds d'investissement pour que l'on s'aperçoive que tout cela n'était qu'un château de cartes. La croissance faramineuse de l'économie financière reposait sur des montages de plus en plus déconnectés de l'économie réelle et donc de plus en plus factices.  […]
    L’une des escroqueries actuelles est de vouloir nous persuader qu’il ne s’agit que d’une crise conjoncturelle, que des mesures de relance doivent endiguer pour que le système reprenne sa marche en avant. Mais il s’agit bien d’une crise structurelle, sinon systémique, cette croissance forcée s’apparentant à une course à l’abîme."

    Hervé Coutau-Bégarie

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